mercredi 18 janvier 2017

« Les « trumpettes » du souverainisme ! Trump éreinte l’Europe, l’Otan et Merkel !! »


C’est donc un revirement extraordinaire auquel nous assistons actuellement. Alors qu’il y a encore quelques semaines, j’étais le premier, et loin d’être le seul évidemment, à trembler devant le traité de libre-échange transatlantique qui aurait vu déferler les poulets aux hormones et autres joyeusetés qui nous auraient été imposées, nous en sommes rendus au point totalement inverse !!

Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,
Je dois vous avouer que les europathes mondialistes qui nous dirigent sont totalement isolés. Non seulement ils sont isolés, mais, en plus, ils sont encerclés ! Encerclés par la Russie d’un côté et les États-Unis de l’autre !
INSOLENTIAE « Les « trumpettes » du souverainisme ! Trump éreinte l’Europe, l’Otan et Merkel !! »C’est donc un revirement extraordinaire auquel nous assistons actuellement. Alors qu’il y a encore quelques semaines, j’étais le premier, et loin d’être le seul évidemment, à trembler devant le traité de libre-échange transatlantique qui aurait vu déferler les poulets aux hormones et autres joyeusetés qui nous auraient été imposées, nous en sommes rendus au point totalement inverse !!
Trump vient de menacer ni plus ni moins la grande Allemagne de Merkel, la grande mondialiste (qui protège uniquement les intérêts marchands de ses quelques immenses multinationales germaniques pour servir la domination allemande), d’imposer des droits de douane de 35 % à toutes les BMW et Mercédès allemandes qui ne seraient pas produites aux États-Unis… Et ce n’est pas avec la rigueur que la Merkel impose au reste de l’Europe que son industrie vendra ses belles autos !!
« Cinq jours avant son entrée à la Maison Blanche, Donald Trump a accordé une interview lundi 16 janvier à deux quotidiens conservateurs, l’un britannique (The Times) et l’autre allemand (Bild). »

Des propos « atomiques » !

C’est un festival souverainiste dont vient de nous gratifier Trump, et les mondialistes qui pourrissent le monde viennent d’en prendre pour leur grade.
« 1. L’Otan : «Obsolète»
«J’ai dit il y a longtemps que l’Otan avait des problèmes. En premier lieu qu’elle était obsolète parce qu’elle a été créée il y a des années et des années » et « parce qu’elle ne s’est pas occupée du terrorisme. (…) En deuxième lieu, parce que les pays ne payent pas ce qu’ils devraient.»
2. Le Brexit : «Un succès»
«Regardez l’Union européenne (…) c’est en gros un instrument pour l’Allemagne. C’est la raison pour laquelle je pense que le Royaume-Uni a eu bien raison d’en sortir», a dit le président élu. «Les peuples, les gens, veulent leur propre identité et les Britanniques voulaient leur identité», a-t-il jugé. «Je pense sincèrement que s’ils n’avaient pas été obligés de prendre tous les réfugiés, avec tous les problèmes qui vont avec, il n’y aurait pas eu de Brexit. Ça a été la goutte qui a fait déborder le vase. Si vous me posez la question, je vous dirai qu’il y a d’autres pays qui sortiront de l’Union européenne.»
Donald Trump a suggéré que les conditions d’entrée des citoyens européens sur le territoire des États-Unis pourraient être durcies. «Nous ne voulons pas que des gens de Syrie viennent chez nous, des gens dont nous ignorons qui ils sont. Je ne veux pas faire comme l’Allemagne.»
3. Angela Merkel : «Une erreur catastrophique»
«Je pense qu’elle a fait une erreur catastrophique, une erreur très sérieuse, de prendre tous ces migrants illégaux.» (…) Selon lui, les conséquences de cette politique d’accueil se sont fait récemment «clairement sentir» – une allusion à l’attentat contre un marché de Noël à Berlin le 19 décembre. «Nous aurions dû mettre en place des zones de sécurité en Syrie. Cela aurait coûté beaucoup moins cher. Et les pays du Golfe auraient dû payer pour ça. Après tout, ils ont plus d’argent que quiconque.»
4. La Russie : «Les sanctions font très mal»
«Voyons si nous pouvons faire de bons accords avec la Russie. Je pense que l’armement nucléaire doit être très sensiblement réduit, ça en fait partie» a dit le président élu, en évoquant la possibilité d’un accord de réduction des armements nucléaires en échange de la levée des sanctions. «Les sanctions font très mal à la Russie mais je pense qu’il peut se produire quelque chose qui sera profitable à beaucoup de gens.»
5. BMW : «35 % de taxes»
«L’Allemagne est un pays génial, un grand pays producteur. Quand on va sur la 5e Avenue, on voit que tout le monde a une Mercedes garée devant chez lui, pas vrai ? Or le fait est que vous (les Allemands) êtes très injustes avec les États-Unis. Combien de Chevrolet avez-vous en Allemagne ? Pas beaucoup, peut-être aucune, dehors on n’en voit pas une seule. Ça doit marcher dans les deux sens. Moi je veux que ça soit juste. (…) Vous pouvez fabriquer des voitures pour les États-Unis mais vous devrez payer 35 % de taxes sur chaque voiture qui entre aux États-Unis». »

Vous pouvez être anti-Trump, mais dans ce cas, vous êtes pro-mondialiste !

Vous devez bien comprendre que l’hystérie anti-Trump vient desservir vos propres intérêts en tant que peuple et nation souveraine.
Autrefois, la politique française était équilibrée, nous savions servir de pont entre les États-Unis et la Russie, nous savions servir de lien entre les pays arabes et Israël, nous avions notre monnaie, nos lois, notre armée, nous n’étions pas inféodés à l’Otan.
Que dit Trump ?
- Que les mondialistes ont pourri le monde et l’économie.
- Que les sanctions contre les Russes n’ont aucun sens, ce qui est une évidence.
- Que le libéralisme et le libre-échangisme c’est d’accord uniquement si c’est équitable, or l’Allemagne - et la Chine détruisent volontairement les industries des autres.
- Que l’Otan n’est plus une organisation adaptée sinon à la domination du monde par les USA et au chantage. Toutes les guerres depuis 10 ans l’ont été sous le couvert de l’Otan qui est devenu le bras armé non pas des peuples mais du totalitarisme marchand et des multinationales.
Supprimer l’Otan c’est un immense service à rendre aux peuples de la planète et à la paix car l’Otan c’est la guerre, la guerre en Irak, la guerre en Syrie, la guerre en Libye, la guerre en Ukraine… L’Otan est elle-même une organisation de terreur et de vol en bande organisée des ressources de pays tiers à commencer par le pétrole irakien ou libyen.
Trump n’est pas notre ennemi direct. Il est le président des États-Unis d’Amérique et il ne s’est jamais caché de son « America first »… mais cet « America first », cette priorité qu’il donne à sa propre nation, s’accompagne d’un changement total de logiciel.
Il s’agit de redéfinir les règles de la mondialisation.
Non, nous ne finirons pas comme la Corée, et d’ailleurs personne ne le souhaite, mais il existe autant de formes de mondialisation que notre imagination peut en produire ! La mondialisation actuelle n’est en rien une fatalité et rééquilibrer les choses est une évidence, du simple bon sens.
Tous ceux qui hurlent sont en réalité les serviteurs zélés et corrompus d’un système marchand qui nous a asservis.
Ne vous méprenez pas, c’est un combat à mort. C’est une lutte sans merci pour la survie de nos nations.
Il est déjà trop tard. Préparez-vous !


2017, le grand basculement.

L’effondrement de l’Empire atlantiste et de sa contre-civilisation tourne au tragi-comique. Le spectacle est tellement désolant que l’on se surprend même à éprouver une certaine gêne devant la petitesse des acteurs pris au piège de cet épilogue pourtant historique. La gêne par exemple de voir le minuscule Obama se ridiculiser encore davantage en donnant des coups de pieds rageurs dans son château de sable; de voir aussi la volaille merdiatique occidentale s'obstiner à piailler en perdant ses dernières plumes de crédibilité; de voir encore la panique des prétendants au trône hexagonal devant leur propre vacuité; de voir enfin la sublime élite européenne se persuader qu’elle a encore un rôle à jouer. La gêne en somme de voir toute la caste dirigeante de l'hyper-Titanic atlantiste s’avilir jusqu’au grotesque pour arracher encore au temps qui les vomit quelques lambeaux de vie. 2017 descend pourtant sur leur nuque comme un impeccable couperet. L'année du grand basculement ?

L’Empire en voie d’extinction
On voyait bien la bête pourrir sur pieds depuis quelques années mais le millésime 2016 aura été admirablement dévastateur pour l’Empire atlantiste. C’est l’année où tous les derniers joints de l’édifice ont pour ainsi dire pété en même temps.
Le Brexit; l’éviction du gang Clinton par le «déplorable» Trump; la montée irrésistible en Europe des partis souverainistes; la perte totale de crédibilité de la machine à enfumer merdiatique après la chute d’Alep, bref, autant de déculottées qui ont poussé toute la pègre ultralibérale de l’Empire dans les cordes.
Matrice et capitainerie du Système, les Etats-Unis en ont pris pour leur grade, nécessairement. De l’Ukraine à la Syrie en passant par la Lybie ou par l’Irak, toutes ses opérations de regime change ont foiré lamentablement.
Sans nous appesantir sur le désormais «failed state» ukrainien (1), la perte d’Alep en décembre dernier représente sans conteste le coup de grâce, l’humiliation ultime d’une machine à dévorer le monde qui va devoir s’habituer à bouffer de la compote à la paille désormais.
D’où la rage d’adolescent attardé manifestée par le pitoyable Obama dans les derniers jours de son pitoyable mandat.
Même ses provocations contre Poutine ou ses manœuvres pour savonner la planche à son successeur auront tourné au fiasco.
En expulsant 35 diplomates russes sur la base d’accusations fallacieuses par exemple, le POTUS espérait sans doute pouvoir encore jouer les gros bras dans une ultime passe d’armes intercontinentale. C’est raté. Le haussement d’épaule de Poutine (2) lui a renvoyé sa fanfaronnade en pleine tronche avec le claquement sec et terriblement humiliant d’une gifle diplomatique.
  1. constat est sans appel: Obama-le-pitre aura sans aucun doute possible été le pire POTUS depuis la Seconde guerre mondiale, c’est-à-dire le meilleur finalement. Il laisse en effet derrière lui un Empire en voie d’extinction, pour ainsi dire ruiné, que plus personne ne craint, et désormais guetté par une dislocation qui pourrait bien surprendre par sa rapidité.
    Merci à lui.
    On ajoutera à ce stade que cette dislocation pourrait prendre une forme inattendue dans la guerre qui oppose Trump à l'Etat profond US désormais. Sur MSNBC, un sénateur vient ainsi de menacer Trump, suggérant à mots à peine couverts que la CIA pourrait bien vouloir sa peau (3).

    Suicide merdiatique
    L’affaire d’Alep aura aussi permis à la volaille merdiatique d’achever son suicide en beauté.
    En près de 6 ans de tueries encadrées par les services secrets de moins en moins secrets de Washington, Riyad, Ankara, Londres, Tel-Aviv ou Paris (4), on croyait avoir tout vu, tout lu en matière de désinformation sur cette prétendue révolution syrienne et ses rebelles bisounours – notamment de la part d’une gauche française totalement ravagée par un crétinisme romantique effarant.
    Avec la prise d’Alep-est pourtant, les dernières bornes de la décence n’ont pas seulement été repoussées, elles ont été littéralement explosées dans une formidable crise d’hystérie merdiatique où les rumeurs les plus folles de massacres et même de viols collectifs par les troupes syriennes ont été présentées comme des faits avérés.
    C’était comme si au sein des rédactions occidentales – devenues officines du «Ministère de la vérité» de l'Empire depuis quelques années déjà (5) –, ont avait joué à qui aurait l’idée la plus délirante, la plus malsaine pour tenter de susciter encore la mobilisation et sauver la rébellion qu’on avait fantasmée.
Tout cela pour qu’à la fin, les seuls charniers découverts dans une Alep libérée soient ceux de civils torturés et massacrés par les rebelles bisounours qu’on avait tenté de faire passer durant 6 ans pour les dignes héritiers du Che (6).
Là encore: passé la colère aux moments cruciaux de la bataille, on s’est surpris à éprouver ensuite une certaine gêne face à l’ampleur des démentis que le réel infligeait coup pour coup aux délires d’une corporation merdiatique désormais réduite à un troupeau bêlant de petits militants hallucinés.
Le nouveau complot de Poutine
Mais comme on le sait le ridicule ne tue pas, hélas.
Et la plume encore puante de ses derniers mensonges orientaux, on a pu voir ensuite avec quelle dévotion hargneuse ledit troupeau s’est vite remis au garde-à-vous pour alimenter les nouvelles minutes de haine antirusse commanditées par l’éditeur-Système (7).
Ainsi, déjà accusé d'avoir en quelque sorte placé Trump à la Maison-Blanche, Vladimir Poutine est désormais soupçonné de vouloir organiser cette année encore une série de quasi coups d’Etat en Europe pour y placer, là aussi, des (es)-pions à lui lors des élections en Allemagne et en France notamment.
C'est le dernier complot cosmique mis au jour par nos rigoureux enquêteurs nourris au grain bio de la déontologie et de l’éthique des grandes écoles de journalisme officielles: Magic-Poutine s’apprêterait... à prendre le contrôle du monde-libre par extrêmes-droites interposées. Si si. (8)
Magic-Poutine version grand méchant de Comic Books: c'est du lourd, du massif, de l'indiscutable, et on a déclenché des guerres intergalactiques pour moins que ça.
Bêler d’effroi pour le compte de l’Empire est un travail harassant, à n’en pas douter.
L’UE en plein naufrage
Du côté de l’UE de Bruxelles, le naufrage se poursuit aussi sans encombre. La nausée des Européens est désormais telle que, à nouveau, tous les plumitifs du Système sont mobilisés (encore eux, les pauvres) pour sauver la succursale étasunienne.
Dans L’im-Monde du 21 décembre on pouvait ainsi lire en se pinçant le nez: «La Commission européenne n’a rien à voir avec la description technocratique qui en est faite (...) Jean-Claude Juncker (...) s’efforce de taxer les multinationales, de faire la chasse au paradis fiscaux et d’avoir une gestion politique – comprendre de gauche – des politiques budgétaires.» (9)
Ce que confirment pleinement d’ailleurs les révélations du Guardian du 4 janvier dernier (10), selon lesquels «Juncker aurait bloqué des réformes contre l’évasion fiscale».
Mais allez, on ne va pas chipoter comme disent nos amis belges. L’UE c’est chouette, c’est beau et ça sent bon puisque l’’im-Monde et ses clones vous le martèlent, et d’ailleurs tous les retraités grecs vous le confirmeront.
Reste que malgré les efforts déployés pour sauver l’image de l’UE, ça commence franchement à sentir le sapin pour le machin et nous, on aime bien..
Une fois n’est pas coutume, nous nous risquerons même au jeu des pronostics pour dire que 2017 aura sa tête, à l’UE de Bruxelles donc, avec une probable série d’xxExit qui seront sinon accomplis du moins franchement sur les rails avant la fin de l’année.
La perspective est tellement jouissive qu'on se laisserait presque aller à pousser pour l'occasion un petit «Jun-cker, blai-reau, le peuple aura ta peau»...
Patience.


En attendant un Trump à Paris
Pour boucler la boucle, on voulait encore souligner le spectacle lamentable donné par l'ennuyeuse petite troupe d'énarques en lice pour la Présidentielle française. Ce qui confirme d'ailleurs que le théâtre, plus c'est subventionné, plus c'est de la..., enfin plus c'est mauvais quoi.
En ce moment, la sitcom en est à la primaire de l’autre tête dite «de gauche» du Parti inique, pardon, unique, aux commandes, et nous voulions évoquer un peu la vacuité abyssale de la chose. Et puis nous y avons renoncé. Un coup de mou sans doute, non pas devant l’ampleur de la tâche, nous ne sommes pas si paresseux, mais devant son inutilité. Si vous en avez la force, il vous suffit en effet de vous infliger un JT de temps en temps pour être édifiés. Nous, on y arrive plus.
Alors pour faire court, nous nous risquerons là encore au jeu des pronostics en disant qu'il est bien possible, sinon probable, que les Français décident enfin de tirer la chasse sur cette caste d'énarques et autres enfumeurs néolibéro-progressistes en choisissant leur propre Trump, quel qu’il soit. «N’importe qui plutôt qu’un de ceux-là», nous paraît l’engagement citoyen le plus responsable et respectable qui soit par les temps qui courent.

Epilogue
L'Empire atlantiste est donc enfin entré dans la phase finale de son effondrement.
Les Etats-Unis dévissent et la succursale européenne se débat pour survivre aux secousses.
Partout les idéologues et les artisans du chaos sont désormais démasqués, conspués, et la machine merdiatique qui recouvrait leur sale petite mécanique d'un vertueux vernis est en panne.
Les temps sont tragiquement propices au changement.
2017 sera-elle l'année du grand basculement?
Tout est prêt.