dimanche 11 septembre 2016

Les camps de concentration d’Hillary en Afrique, bientôt en Amérique ?



Hillary Clinton a supervisé la construction et l’aménagement de grands camps de concentration au Ghana, comme modèles expérimentaux de ce qu’elle pourrait installer en Amérique si elle devient présidente. Ses premières victimes à interner dans ces camps, seront les dizaines de millions de personnes qui soutiennent son adversaire Donald Trump. Hier, elle les a traités de «panier de déplorables» et a mis en garde ses partisans contre ces «irrécupérables» et «non Américains ».

Il est bien connu que, depuis des décennies, Hillary Clinton fait partie d'une cabale d'élites (qui inclut le président Obama), qui  fonctionnent comme une cinquième colonne aux États-Unis. L’hilarante est guidée par les enseignements de son mentor Saul Alinsky[1], qui, d’après les investigations du FBI, avait planifié, dans les années 1970, d'assassiner de plus de 20 millions d'Américains.
Le «plan directeur» utilisé par cette cabale  d’Hillary Clinton pour gagner le pouvoir absolu en Amérique, consiste à appliquer les Règles pour radicaux d'Alinsky, qui appellent à la diabolisation des adversaires politiques, comme c’est le cas actuellement contre Donald Trump, qu’on veut marquer comme un raciste, malgré les preuves incontestables montrant qu'il a soutenu les Afro-Américains depuis des décennies, y compris l'icône des droits civiques, Jessie Jackson, en le félicitant pour ses décennies de service en faveur de cette communauté.
En 1998, Hillary Clinton et son mari le président Bill Clinton, ont visité la nation ouest-africaine du Ghana et ont lancé "expérience sociale" à long terme, conçue pour transformer complètement le petit peuple des petites nations en retirant les enfants à leurs mères et grands-mères afin qu'ils puissent être endoctrinés dans les voies et méthodes du «Nouvel Ordre Mondial ».
Ce modèle de «démocratie» loué par le président Obama, consistait en un endoctrinement islamiste radical de ces enfants. Cet endoctrinement est fait par Varkey Foundation  qui a été formée en 2010 par Sunny Varkey, le fondateur et président de la GEMS Education,, qui est le plus grand opérateur d’enseignement privé du Monde. De la maternelle à la terminale du secondaire, ses écoles enseignent, entre autres, la charia version wahhabite, aux enfants, même s’ils sont d’origine non musulmane. Cette fondation a payé à Bill Clinton près de 6 millions $.
L'ancien président américain Bill Clinton (à gauche)
et le promoteur de l'islamisme radical Varkey (à droite)
Avec la plus grande partie du Ghana maintenant «pacifiée» par ce «plan directeur» d'ingénierie sociale islamiste mondialiste d'Hillary Clinton, consistant à dépouiller toute une génération d’enfants de leurs mères et grands-mères, ce pays est maintenant «mûr » pour l'exploitation effrénée de ses ressources naturelles par les élites occidentales (à l’image des pays islamistes comme la Tunisie, la Libye, l’Arabie, le Qatar, et autres émirats), y compris le principal bailleur de fonds de Hillary Clinton, George Soros qui a déjà commencé à prendre dans ses filets cette nation africaine et d'autres nations qui l'entourent.
Ce que  les masses américaines et européennes ne comprennent pas, c’est que ce "plan directeur» d’Hillary Clinton, expérimenté  au Ghana, n’est qu’une petite partie de ce que ces élites globalistes appellent un «monde sans frontières», dans lequel les entreprises ne seront pas liées par des lois nationales, mais seulement par celles qu'elles se font pour elles-mêmes dans ce qu'on appelle «accords commerciaux». L’objectif du 21e siècle est d’inonder l'Ouest avec des dizaines de millions de travailleurs islamiques  wahhabites lobotomisés par le wahhabisme, et formatés pour obéir à leurs employeurs comme à des «maîtres». Il en est ainsi, par exemple, des kamikazes islamistes, que l’on envoie se faire exploser au milieu des foules innocentes, le sourire aux lèvres. L’effet de panique sur les citoyens occidentaux ordinaires est tel qu’ils sont prêtes à accepter n’importe quelle loi scélérate faite non « pour les protéger », mais pour les bâillonner. Ces kamikazes islamistes, ou djihadistes, sont les actuels et futurs soldats du mondialisme et de cabale. Ils constituent une formidable arme de destruction massive quasi imparable. Tout en muselant toute opposition populaire dans les pays occidentaux, elle permet du même coup  dénigrer au maximum l’islam et les musulmans, afin de pouvoir les asservir, sinon les massacrer allègrement.
Les travailleurs latino-américains et africains aux États-Unis sont étiquetés peu fiables par Hillary Clinton et ses alliés d'élite, ils ont donc non seulement perfectionné leur modèle de camp de concentration au Ghana à utiliser ultérieurement aux USA, mais ils ont aussi la planification de la destruction effective de l'ensemble de leur nation par d’autres moyens, dont par exemple:
1.) de 1994 le projet de loi de la criminalité Hillary et Bill Clinton au cours des 22 dernières années a fait des États-Unis le plus grand geôlier d'êtres humains dans toute l'histoire de l'Humanité.

Pendant plus de deux décennies, chaque catastrophe majeure subie par le peuple américain a été conçue par Hillary Clinton et ses alliés, avec le pouvoir absolu de médias américains corrompus la soutenant. Elle devrait être poursuivie et jugée pour trahison. Son principal soutien, le président Obama, a réussi à jeter à la poubelle ses propres concitoyens près de 20 fois cette semaine, sans que personne ne lui demande de compte.

[1] Bill Clinton a reçu des millions de dollars de GEMS, une fondation éducative qui enseigne la charia et le mondialisme
L’ancien président des États-Unis, Bill Clinton – qui en sera peut-être demain le « First Gentleman » – s’assure, on le sait, de confortables revenus par la tenue de conférences et d'interventions en faveur de l’éducation et de la paix dans le monde. Pour la seule année 2014, pour laquelle on dispose de ses déclarations de revenus, il a perçu la coquette somme de 2,1 millions de dollars de la part de GEMS, Global Education Management Systems, une entreprise éducative sise à Dubaï et qui gère quelque 70 écoles dans une douzaine de pays. A des honoraires connus de plus de 5,6 millions de dollars depuis 2012 s’ajoutent divers paiements faits par GEMS à la Fondation Clinton et le soutien officiel à la Clinton Global Initiative en 2013 et 2014. S’agissant d’une initiative qui vise à fabriquer des citoyens conscients des problèmes globaux et aptes à devenir des leaders mondialistes, il n’y a là rien de très étonnant. Mais outre cela, GEMS, qui intervient dans plusieurs pays proche-orientaux, ne rechigne pas à enseigner la charia.
GEMS est ainsi le seul groupe éducatif étranger à pouvoir intervenir en Arabie saoudite, où sévissent le wahhabisme et l’application la plus stricte de la charia.
Au seul Proche-Orient, GEMS gère 51 écoles. Elles s’inscrivent dans un réseau fort de 250.000 élèves dans de nombreux pays : écoles payantes d’élite ou plus modestes, subventionnées, pour les plus défavorisés. 
Charia et mondialisme font bon ménage chez GEMS
Depuis 2012, GEMS participe au Forum économique mondial de Davos – ce qui est tout naturel puisqu’il vise à instiller dans ses élèves les « valeurs universelles » des sociétés mondialistes – selon l’optique de l’UNESCO dont la Fondation Varkey, le bras caritatif de GEMS, est un partenaire revendiqué. Bien sûr, dans les écoles GEMS, on pratique la « conscientisation » aux questions du développement durable et du changement climatique.
Mais son intégration parfaite dans de nombreux systèmes éducatifs très surveillés des pays les plus islamiques est significatif. Les écoles GEMS du Qatar, par exemple, prônent le respect des traditions locales mais aussi de la foi (totalitaire) wahhabite, un "islam talmudique".