mardi 24 novembre 2015

Attentats de Paris : qui a prévenu Éric de Rothschild et la communauté juive de France ?

INFO PANAMZA. L'homme censé avoir été «averti vendredi matin» -selon un média israélien- de «l'imminence» des attentats n'est autre que le baron Éric de Rothschild, businessman multimillionnaire et président du "Service de protection de la communauté juive de France". Révélations.


"Un Rothschild qui n'est pas riche, pas juif, pas philanthrope, pas banquier, pas travailleur et qui ne mène pas un certain train de vie n'est pas un Rothschild" . L'auteur -décédé en 1997- de cette franche déclaration ? Edmond de Rothschild, banquiermembre du directoire du Bilderberg et petit-fils d'un mécène historique du sionisme.


Il manque un qualificatif supplémentaire -utilisé notamment par les spéculateurs boursiers- dans sa déclaration relative aux héritiers Rothschild : "initié".

Dimanche 15 novembre, deux jours après les attentats qui ont ensanglanté Paris, Panamza rapportait la troublante révélation -parue la veille- d'un quotidien israélien : Vendredi matin, les responsables de la sécurité au sein de la communauté juive auraient appris "l'imminence d'une large attaque terroriste" selon The Times of Israël. L'auteur de cette confidence : le bien informé Jonathan Simon-Sellem (alias JSS), extrémiste franco-israélien de la cause sioniste et grand ami de Meyer Habib.
Aujourd'hui, il est possible d'identifier le principal "officiel" chargé en France de la "sécurité de la communauté juive".
Il s'agit d'Éric de Rothschild, 75 ans, fils d'Alain de Rothschild (ex-dirigeant du Crif), richissime homme d'affairesprésident du Mémorial de la Shoah, viticulteur "casher" à succès et président du "Service de protection de la communauté juive de France"(SPCJ, surnommé la "LDJ officielle").
Soulignons par ailleurs que JSS (qui indique avoir été de passage à Paris jusqu'à samedi, jour de son retour à Tel Aviv) affirme dans son entretien accordé à The Times of Israel avoir initialement envisagé de se rendre au stade de France (lieu autour duquel se déroulèrent les premières explosions) avant de changer d'avis -sans explication- pour aller au cinéma.

Et qu'en est-il des rapports du communautariste Éric de Rothschild avec Israël?


Pour comprendre sa connexion avec le régime d'apartheid, colonial et terroriste de Tel-Aviv, il est nécessaire d'appréhender la double nature de la Grande synagogue de Paris dont il est le président d'honneur : centre emblématique du judaïsme hexagonal mais aussi -comme l'a révélé Panamza en mai 2014- base de recrutement pour l'armée israélienne.


Nul étonnement, dès lors, à ce qu'Éric de Rothschild fut longtemps le co-administrateur du "Centre Peres pour la paix" fondé par Shimon Peres, ex-Premier ministre, visage avenant de l'expansionnisme sioniste, figure historique de l'axe Paris-Tel-Aviv, architecte principal du programme nucléaire illégal de l’Etat hébreu et co-responsable de "l'opération Susannah" (des attentats israéliens commis en 1954 sur le sol égyptien, notamment contre des intérêts américano-britanniques, et imputés mensongèrement aux nationalistes égyptiens).


Nulle surprise, non plus, au regard de l'accueil bientôt prodigué par Éric de Rothschild envers la nouvelle ambassadrice (très à droite) d'Israël en France. Le 7 décembre, le baron la recevra en sa qualité de président de la fondation caritative Casip-Cosajor (inspirée par "la tradition juive et les valeurs de la République").

Méconnu du grand public, Éric de Rothschild cultive des relations étroites avec certaines figures influentes du pays: François Hollande, Bernard Cazeneuve, Bernard-Henri Lévy et Pierre Bergé.

hollandecazeneuveberge

Sans oublier deux autres personnages publics exposés hier par Panamza dans une vidéo relative à la simulation médicale -réalisée vendredi matin, onze heures avant le carnage- d'un "attentat multisites par fusillade" : Martin Hirsch, patron de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, et son ami Marek Halter, écrivain soupçonné par le contre-espionnage français d'être un "agent des services israéliens".

halterhirsch

Une double question fondamentale reste ouverte : 

* QUI a informé -dans la matinée du vendredi 13 novembre- le SPCJ et son président Éric de Rothschild de "l'imminence" d'une "large attaque terroriste"?

* POURQUOI cette information vitale a-t-elle été portée essentiellement -voire uniquement- à la connaissance de dirigeants de la communauté juive hexagonale? 

Une semaine après les évènements du 11-Septembre, les spécialistes de la finance avaient rapidement constaté l'existence de délits d'initiés en lien avec des attentats qui furent filmés par trois joyeux agents secrets israéliens arrêtés ensuite par la police.

Pour exposer la trame d'un nouveau scandale, les citoyens français soucieux de connaître la vérité devront percer une chape de plomb forgée avec la complicité passive d'une presse désormais sous "contrôle". Avec une énigme-clé à résoudre au plus vite : 

Qui sont les initiés du 13-Novembre? 

 

HICHAM HAMZA

Révélations: Le père de Marion Maréchal-Le Pen était un agent du Mossad






Révélations: Le père de Marion Maréchal-Le Pen était un agent du MossadLe journaliste Roger Auque, décédé en septembre dernier, a livré dans ses mémoires posthumes des confessions sur sa vie. Dans les dernières semaines de sa vie, en 2014, il a rédigé «Au service secret de la République», ses mémoires riches en révélations sur la vie incroyable de celui qui fut journaliste, ambassadeur de France et aussi… espion pour le compte des services secrets israéliens et français. En France, on savait depuis longtemps que la droite sarkoziste et la gauche de toujours (de Guy Mollet à Hollandouille, en passant par Mitterrand le cagoulard) sont ultra-sionistes. Voici que maintenant, l'extrême droite lepéniste est tout aussi sioniste. La boucle est bouclée : en effet ,  on savait depuis longtemps que les nazis et les sionistes étaient les meilleurs amis du monde.

Otage du Hezbollah à Beyrouth, Roger est alors correspondant de guerre quand il est libéré, en 1987. Très vite, le Mossad le contacte. Puis la DGSE. Grand connaisseur du Moyen-Orient, le chasseur de scoops continue à publier des articles -notamment à Paris Match- tout en aidant les services secrets à libérer des otages.

Même la CIA le convie: « A cette époque, les Etats-Unis cherchaient des renseignements sur l’Iran et l’Irak (…). Je me suis rendu à New York (…), mais également au Pentagone pour rencontrer des agents américains. »

L’ex-otage au Liban raconte beaucoup de choses dans cet ouvrage.

Parallèlement, ce gaulliste convaincu devient Franc-Maçon, ce qui l’aide à entrer en politique. Puis en diplomatie. Sous Sarkozy, il devient ambassadeur en Erythrée. Les ors de la république comme un ultime baroud d’honneur pour ce fils de courtier d’assurances qui a grandi près de Dunkerque.

Roger Auque évoque dans le livre une part méconnue de sa vie : sa fille, Marion Maréchal-Le Pen. En novembre 2013, la mère de la jeune députée FN avait confié à une journaliste préparant un livre, que le père de sa fille était Roger Auque.

Le journaliste évoque un «instant bouleversant» au moment de retrouver sa fille. «J’étais très ému, très intimidé», écrit Roger Auque. «Depuis, nous n’avons cessé de nous voir», ajoute-t-il. De sa relation avec sa fille, aujourd’hui députée, il dit qu’il s’est «davantage vécu comme un parrain que comme un père». «Marion ne m’appelle pas « papa », mais Roger», précise-t-il.

«J’ai joué un rôle de conseiller dans sa vie», explique Roger Auque.

Quelques semaines plus tard, Marion Maréchal-Le Pen avait porté plainte pour atteinte à la vie privée contre le magazine «L’Express», qui avait révélé la confidence en annonçant la sortie de l’ouvrage.

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